Un comité anormal qu'on a voulu.nous présenter comme une chose normale. Comment peut-on être normal lorsqu'on n'a pas été élu et vouloir diriger une association, dont on n'a pas le soutien des membres actifs. C'est en Afrique qu'on peut accepter ce genre de situation qui ne repose sur aucune logique.
Après avoir montré son incompétence avec l'organisation de compétitions au rabais et des droits télé et subventions versés de façon irrégulière et incomplète, les " sauveurs " du football ivoirien, qui ont montré leurs limites dans la gestion des affaires du sport roi local, partiront bientôt. Contre leur gré, ils s'en iront de la maison de verre de Treichville. Et cela, avant le coup d'envoi de la CAN 2022 au Cameroun. Et pour cause, la CAF et la FIFA ont décidé de mettre fin à la mission du CONOR, et ce, à la date indiquée. Ils veulent ainsi mettre fin à une anormalité qui était en train de mener le football ivoirien vers le gouffre.
A la vérité, la gestion catastrophique du comité de normalisation, cela était prévisible, car ses membres, dont le footballeur des années 70, Simon Abé Adou, qui ne.savent rien du football moderne, ont détruit le travail remarquable accompli par le Comité exécutif sortant de la FIF.
Face au constat indéniable de leur incompétence, Mariam Dao Gabala et ses collaborateurs sont contraints de vider les lieux qu'ils occupaient illégalement.
mg