La 1ère édition de la célébration de la journée mondiale du reggae s’est tenue le 1er juillet 2021 à l’espace jah live de Grand-Bassam autour du thème ‘’Apport du reggae dans la cohésion sociale et la paix en Côte d’Ivoire’’.
Reconnue le 29 novembre 2018 par l’UNESCO comme patrimoine mondiale immatérielle, le reggae est célébré chaque 1er juillet dans le monde entier. Pour cette première célébration en terre ivoirienne, causerie, échange, exposition et prestation d’artistes ont meublé cette activité.
Lors des échanges autour du thème central, les adeptes de ce mouvement dont ras Soweto, ras Kouassi, Bobi fm et Ambassadeur ras Julien ont tour à tour soutenu que le reggae est s’est forgé une réputation de musique des opprimés, d’égalité, de droit, de justice qui à des bases, des forces, des racines.
Et c’est grâce à ces racines que des insensés sont devenus d’être sensés, des êtres vomis de la société d’êtres restaurés, des ignorants d’acquérir la connaissance, des spirituels de s’armer et de s’abreuver spirituellement, de briser le racisme et permis aux hommes du tiers monde comme Bob Marley d’être des hommes plus élevés.
Toutefois, elle n’est pas fait pour être impoli, arrogant, mais, d’être sérieux et organiser. Parlant de son apport dans la cohésion, ils défendent que les reggae mens interpellent à travers leurs musiques sur certaines dérivent de la société, mais, les gouvernant et autres acteurs ignorent ces messages. Présent à cette échange, le théosophe Médard Kouassi indique le raggae lance des messages de prophétie pour interpeller l’humanité.
Quand à la directrice pays de l’UNESCO, Anne Lemestre fait savoir que le reggae a vécu sa vie et s’est développé très différemment selon les continents.
Dans son mariage avec l’Afrique, ce nouveau reagge a connu un épanouissement qui est arrivé à une notoriété mondiale avec des artistes comme Alpha Blondy.
S’agissant de la nouvelle génération de reggae mens, elle doit selon Anne Lemestre, s’approprier les valeurs véhiculés par le reggae à savoir la résistance contre l’injustice sociale et prôner la paix et l’amour. Cette édition était parrainée par le Ministre de la communication, des média et de la francophonie, Amadou Coulibaly.
Ibrahima Khalil de Siékèlou