Quant au chargé des affaires de la CEDEAO, Jérôme Wanyou a salué cette belle initiative qui sera un grand partenaire. Il a rappelé que la CEDEAO a besoin des organisations de la société civile pour réunir ses nombreuses missions.
Le mardi 31 août 2021, à la salle de conférence du Conseil National des Droits de l'Homme (CNDH), la Coordination Africaine des Droits de l'Homme pour les Armées (CADHA) avec l'appui organisationnel de Global Action Against Mass Atrocity Crimes (GAAMAC) a organisé le lancement de ses points focaux.
Le GAAMAC est une plateforme de réaction pour la prévention et la répression du génocide, des crimes de guerre, des crimes contre l'humanité et de toutes les formes de discrimination.
Le Groupe de Travail Afrique de GAAMAC (G-GTA) est la plus grande et la plus active des initiatives régionales de GAAMAC, un réseau global et inclusif d'Etats, de la société civile et d'institutions académiques qui soutient les États dans l'établissement d'architectures et de politiques nationales pour la prévention des atrocités
Le G-GTA compte plus de 25 membres issus de plus de 10 pays. Lors de la cérémonie de lancement de ses points focaux, la présidente du CONSEIL National des Droits de l'homme (CNDH), Namizata Sangaré a pris l'engagement d'inscrire sa structure et de mettre en place une plateforme contre ces fléaux regroupant les organisations de la société civile.
Quant au chargé des affaires de la CEDEAO, Jérôme Wanyou a salué cette belle initiative qui sera un grand partenaire. Il a rappelé que la CEDEAO a besoin des organisations de la société civile pour réunir ses nombreuses missions.
Le vice-président du G-GTA, l'ivoirien Bakary Sidiki Diaby a déploré que lors de sommets internationaux organisés par cette institution, les organisations de la société civile brillent par leurs absences. Il a profité de ce lancement pour inviter la société civile à s'approprier ce mécanisme.
Et Surtout, le CNDH qui regroupe plusieurs organisations de la société civile à être le leader.
Ibrahima Khalil de Siékèlou