« Mon programme n’est pas une promesse : je le réaliserai. Je tiendrai mes engagements, car les femmes tiennent leurs promesses », a-t-elle assuré, soulignant sa volonté d’incarner une gouvernance responsable et pragmatique.
Sur le plan institutionnel, Henriette Lagou a annoncé son intention de former un gouvernement restreint de vingt ministres, respectant la parité homme-femme. Une mesure qui, selon elle, vise à renforcer l’efficacité de l’action publique tout en valorisant la compétence féminine.
Abordant ses priorités sociales, la candidate a insisté sur la formation technique et professionnelle, qu’elle considère comme un levier essentiel pour l’insertion des jeunes. Elle a également évoqué la nécessité de renforcer les infrastructures de santé et de garantir un meilleur accès aux soins pour tous.
Toutefois, sur une question relative à la recherche, elle a déclaré : « On n’a pas besoin de faire des études. Pas besoin d’aller payer des cabinets. On est tous Ivoiriens, on a des parents qui font la recherche. Je le sais. ». Une réponse qui a laissé entrevoir sa perception plus empirique de la connaissance du terrain.
À quelques jours du scrutin du 25 octobre, Henriette Lagou se présente comme une candidate de proximité, confiante dans son expérience et déterminée à « faire le bon choix pour la Côte d’Ivoire ».